Olivier Roland - tagged with confiance http://www.olivier-roland.fr/feed en-us http://blogs.law.harvard.edu/tech/rss Sweetcron [email protected] Découvrez votre pouvoir illimité http://www.olivier-roland.fr/items/view/11010/Dcouvrez-votre-pouvoir-illimit

Phrase-résumée de « Découvrez votre pouvoir illimité » : Jillian Michaels, coach sportif et en développement personnel, nous fait prendre conscience de notre potentiel et donne des clés, étape par étape, pour développer notre originalité, atteindre nos objectifs et vivre nos rêves. Son livre se veut une méthode concrète pour prendre notre vie en main, […] Cet article Découvrez votre pouvoir illimité est apparu en premier sur Des livres pour changer de vie.

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Tue, 22 Aug 2017 17:00:00 +0200 http://www.olivier-roland.fr/items/view/11010/Dcouvrez-votre-pouvoir-illimit
Comment devenir un optimiste contagieux http://www.olivier-roland.fr/items/view/10690/Comment-devenir-un-optimiste-contagieux

Phrase résumée de « Comment devenir un optimiste contagieux » : Les 7 principes enseignés à Harvard pour développer votre bonheur, et réussir dans la vie. Par Shawn Achor, 336 pages, 2015 Titre original : The Happiness Advantage: The Seven Principles of Positive Psychology that Fuel Success and Performance at Work Note : cette chronique […]

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Tue, 01 Nov 2016 17:00:00 +0100 http://www.olivier-roland.fr/items/view/10690/Comment-devenir-un-optimiste-contagieux
Pourquoi et comment un blog va booster votre e-commerce ? http://www.olivier-roland.fr/items/view/10510/Pourquoi-et-comment-un-blog-va-booster-votre-e-commerce-

TweetArticle rédigé par Olivier CLEMENCE retrouvez d’autres article sur l’e-commerce sur son blog Vous l’avez sûrement déjà lu ailleurs, « avoir un blog est bon pour votre boutique en ligne ». Mais savez-vous concrètement pourquoi, et ce qu’il faut faire ou ne pas faire pour que votre blog soit réellement efficace ? Les bénéfices d’un […]

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Tue, 02 Feb 2016 17:00:00 +0100 http://www.olivier-roland.fr/items/view/10510/Pourquoi-et-comment-un-blog-va-booster-votre-e-commerce-
7 moyens d’être plus heureux http://www.olivier-roland.fr/items/view/2875/7-moyens-dtre-plus-heureux

Note : Cette chronique a été rédigée par Elisabeth Chervonaz-Humez Heureux ! Ou plutôt, dans mon cas : Heureuse ! Oui ! Mille fois oui ! Mais je ne l’ai pas toujours été, ou plutôt, tout le monde l’est plus ou moins. Un jour ou l’autre. Et puis, sans savoir pourquoi, on ne l’est plus, […]

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Tue, 24 Sep 2013 18:00:00 +0200 http://www.olivier-roland.fr/items/view/2875/7-moyens-dtre-plus-heureux
Tremblez mais osez http://www.olivier-roland.fr/items/view/1664/Tremblez-mais-osez

Qu’est-ce qui vous empêche d’être celui que vous voulez être et de mener la vie dont vous rêvez ?

Phrase-résumé de “Tremblez mais Osez” : Nous avons tous été confrontés à un moment ou à un autre de notre vie à "la peur" : peur de prendre une décision, peur de perdre un être cher, de se lancer dans un nouveau projet. Dans Tremblez, mais osez : Qu’est-ce qui vous empêche d’être celui que vous voulez être et de mener la vie dont vous rêvez ? Susan Jeffers nous expose à travers des exemples tirés de sa propre vie comment réussir à vaincre ses peurs et à enfin vivre la vie que l’on n’ose rêver. Elle nous donne différentes méthodes pour y parvenir, dans un langage clair et accessible à tous.

Le titre anglais de ce guide est Feel the fear and do it anyway,  2007, 223 pages Note : cette chronique est une chronique invitée écrite par Linette du Blog Lire en Nuisette, qui motive les débutantes à se lancer sur internet et à voir le travail autrement. Chronique et Résumé de “Tremblez mais osez” A propos du livre : Tremblez, mais osez ! s’est vendu à des millions d’exemplaires et a été traduit dans le monde entier, ce qui lui a valu une renommée internationale. Son auteure, Susan Jeffers, est titulaire d’un doctorat en psychologie. Outre le fait qu’elle ait écrit plus d’une dizaine de livres, elle est aussi une conférencière très appréciée outre-Atlantique. Elle est en effet reconnue pour savoir parler à tout un chacun ; tous se reconnaissent dans ses anecdotes, jeunes, plus âgés, sur des sujets totalement différents. On peut en cela affirmer que son message est universel. INTRODUCTION : OUVREZ LA PORTE ! Dans cette introduction, Susan Jeffers présente comment le sujet de ce livre lui est venu à l’esprit. Cela part de ce constat tout simple : la peur est partout. Chacun d’entre nous la vit, à sa manière, et parvient ou non à la surmonter. Certains ont un tel déficit de confiance en eux-mêmes que leurs peurs les empêchent d’avancer. Susan Jeffers souhaite donc par l’intermédiaire de ce petit guide donner des conseils et des trucs pour parvenir à se lancer et à reprendre sa vie en mains. Le premier d’entre eux est tout simplement d’accepter la vie, car ce sont ses impondérables, les décisions qu’elle nous oblige à prendre qui font que nous avons toujours la tentation de la peur. C’est lorsque Susan Jeffers a compris cela qu’elle s’est elle-même reprise en mains. Elle a alors souhaité venir en aide à tous ces hommes et ces femmes qui avaient peur et a décidé de le faire via un séminaire intitulé "Ressentez la peur et surmontez-la". Dans ce livre dont Linette vous propose aujourd’hui la chronique, elle reprend en fait en plus condensé ce séminaire. CHAPITRE 1 : DE QUOI AVEZ-VOUS PEUR ? Ce premier chapitre nous rappelle que nous ne sommes pas seuls à avoir peur. Tout le monde est concerné, jeunes, vieux, hommes, femmes, quel que soit notre niveau social, nous sommes tous régulièrement confrontés à nos angoisses. L’objectif de ce premier chapitre est aussi de nous faire parvenir à identifier nos peurs. Nous apprenons ainsi qu’il y a 3 niveaux de peur : 1er niveau – le premier concerne les appréhensions de tout un chacun, telle la vieillesse, la mort, la perte d’un être cher, etc. 2e niveau – le second concerne notre moi profond : ainsi en font partie la peur de l’exclusion, de l’échec, la mésestime de soi, etc. Ces peurs-ci peuvent avoir de graves conséquences sur le déroulement de notre vie. 3e niveau – le dernier niveau de la peur concerne un état de fait : nous n’avons pas confiance en nous et n’arrivons pas "à faire face". S’avouer la vérité et développer sa confiance en soi sont en fait les deux principaux moyens qui nous permettront d’affronter nos peurs. CHAPITRE 2 : LA PEUR NE VOUS QUITTERA PAS Quoique l’on décide, nous serons toujours confrontés à la peur. En effet, le moindre changement occasionnera toujours une angoisse, une peur de l’échec. C’est donc une complète rééducation de notre manière de penser qui est à mettre en œuvre, car nous avons développé des réflexes qui nous emprisonnent dans une logique d’échec. La seule façon de changer est finalement d’agir et se dépasser car c’est ainsi que progressivement nous reprenons confiance en nous. Il est essentiel d’avoir une bonne estime de soi ; l’autosuggestion peut ainsi nous aider à nous persuader que nous ne sommes pas si "nuls" que cela et à faire en sorte que nous nous sentions mieux… Quelque chose de réconfortant est enfin d’avoir conscience que tout le monde a peur, même la personne qui nous semble la plus orgueilleuse au monde. Il s’agit d’entraîner son esprit à réagir différemment, au fil des expériences, pour que peu à peu le sentiment de peur ne nous paralyse plus. Rien n’est pire que de rester enfermé dans ses peurs et de ne plus oser agir. CHAPITRE 3 : DE LA SOUFFRANCE AU POUVOIR

Le vrai problème vient surtout de la façon dont on vit la peur et les effets qu’elle produit. En effet, elle engendre la souffrance quand elle n’est pas surmontée alors qu’un réel sentiment de "pouvoir" sur nous-mêmes nous envahit lorsque l’on parvient à la surmonter. Afin de progresser sur une abscisse qui va du mot SOUFFRANCE au mot POUVOIR, le plus simple est encore de tracer réellement cette ligne sur une grande feuille de papier et de chercher à noter régulièrement les progrès que l’on pense y faire, après avoir noté sa position initiale. Cette manière de matérialiser les choses est l’un des nombreux trucs que donne Susan Jeffers pour visualiser ses progrès et surtout se conditionner à aller de l’avant, vers le "pouvoir". Le vocabulaire que nous utilisons doit également être soigné car il traduit notre état d’esprit ; ainsi au lieu de se dire qu’il y a un problème devrions-nous plutôt penser que "c’est une chance". C’est ainsi l’équivalent de plusieurs petites phrases clefs que nous donne l’auteure, afin que nous nous forcions chaque jour, chaque heure, chaque minute à utiliser les termes positifs qui influeront sur notre état d’esprit. En éliminant ainsi les tournures négatives, nous nous donnerons une meilleure image à nous-mêmes et en projetterons une également moins pessimiste pour les autres. Un dernier objectif est aussi de chercher toujours à dépasser nos limites : cela nous aidera à reprendre confiance en nous car nous arriverons à prendre toujours plus de risques et à réaliser ainsi des choses nous apportant toujours plus de fierté. CHAPITRE 4 : SOYEZ RESPONSABLE ! Susan Jeffers revient dans ce chapitre sur la notion de "responsabilité". Qu’est-ce au juste que "prendre ses responsabilités" ? Quelqu’un qui passe son temps à se plaindre des autres est-il vraiment responsable? Eh bien non ! Se poser en victime est tout sauf assumer sa part de responsabilité dans ce qui nous arrive. L’auteure nous propose ensuite 7 définitions complémentaires de ce que signifie "se montrer responsable", comme : – Prendre ses responsabilités, c’est ne jamais penser que ce que vous êtes devenu ou ce que vous vivez est la faute d’autrui ou de quelconques contingences extérieures. – Prendre ses responsabilités, c’est aussi ne pas se faire de reproches. Accepter de ne plus être une victime, c’est quelque part grandir enfin et se sentir adulte et fort face à l’adversité. S’en suivent 6 petits exercices pour nous aider à accepter cela et à devenir maître de nous-mêmes. Ainsi, un exercice consiste à réussir pendant une semaine à ne pas critiquer qui que ce soit ni ne se plaindre de personne. Dans un autre, il s’agit de faire la liste des alibis que l’on se trouve pour ne pas avancer vers nos objectifs. CHAPITRE 5 : PO-SI-TI-VEZ ! Ce chapitre aborde le thème de la pensée positive. Partant du constat que 90% de nos craintes sont sans fondement, à quoi bon broyer du noir et être pessimiste ? En vivant continuellement dans la crainte, c’est notre propre réalité que nous créons. Ainsi nous avons tout à gagner à croire que nous allons réussir en pensant positivement et en nous l’affirmant. Nous connaissons en effet le pouvoir des mots. Mais pratiquer la pensée positive n’est pas aussi simple que cela et demande une attention de tous les instants et une pratique quotidienne. L’auteure nous explique comment faire, par exemple par l’écoute de "cassettes" d’autosuggestion, par la lecture de livres, l’écoute de musique douce, l’affichage de messages positifs dans notre environnement. Elle nous donne enfin un "programme intensif de pensée positive pour débutant" et nous l’assure : nous allons vivre une véritable renaissance si nous suivons ses conseils. Il est toutefois nécessaire de nuancer son propos et de ne pas utiliser la pensée positive comme une excuse pour fuir la réalité. Elle doit simplement nous permettre de garder à l’esprit que des solutions existent, quand bien même nous avons l’impression que rien ne peut aller plus mal. CHAPITRE 6 : LES OBSTACLES A VOTRE EPANOUISSEMENT Les obstacles à notre épanouissement sont nombreux mais sont principalement représentés par autrui, essentiellement la famille proche. Il s’agit en effet en premier lieu de nos conjoints, qui certes nous aiment pour ce que nous sommes, mais pas forcément pour ce que nous pouvons devenir. Ceci entraîne donc parfois des ruptures, mais parfois aussi des redécouvertes de l’Autre et l’envie de l’accompagner sur la voie de son épanouissement personnel. Des exemples viennent enrichir la théorie : Susan Jeffers nous parle ainsi de cette jeune femme obèse qui décida un jour de reprendre son corps en mains et de retrouver une silhouette plus fine. Son mari eut besoin de beaucoup de temps pour les accepter, elle et son nouveau corps, sa jalousie allant jusqu’à lui faire traîner des friandises et autres chocolats pour tenter sa femme, devenue trop séduisante. Susan Jeffers nous indique ensuite que faire quand la famille résiste aux changements que nous essayons de mettre en place. Pour nous accompagner sur le chemin de la réussite, il est bon également de trouver un guide et de savoir s’entourer de ceux que Susan Jeffers appelle "les perles rares". Ce sont ces personnes qui nous semblent tellement plus épanouies que nous, plus positives et qui peuvent tant nous apporter ! Un signe irréfutable que nous sommes déjà en train d’évoluer, est ce que Susan Jeffers appelle le "coup du balancier" : notre attitude alterne entre des périodes de passivité, de maîtrise de soi et d’agressivité. Cette agressivité traduit notre volonté de nous accrocher et de ne pas retomber dans la mollesse qui nous empêchait auparavant d’agir. Quelques remèdes nous sont donnés ensuite pour éviter ce "syndrome du balancier." Il s’agit essentiellement de pratiquer la diplomatie dans nos rapports avec ceux qui nous critiquent ; ainsi plutôt que de répondre violemment "Occupe-toi de tes affaires" à une maman soucieuse, mieux vaut faire preuve de confiance en soi et lui faire comprendre que l’on attend d’elle du soutien, non des mots qui nous enfoncent un peu plus dans notre manque de confiance en nous-mêmes. La conclusion de ce chapitre nous rappelle qu’avant toute chose, nous devons être notre meilleur ami. CHAPITRE 7 : LE CHOIX GAGNANT L’un des points centraux de la pensée de Susan Jeffers est ce concept de "choix gagnant". En effet, plutôt que de considérer que dans la vie, il y a les "bons" choix et les "mauvais" choix, nous devons nous persuader que toute décision est toujours un "choix gagnant" et ne peut que nous apporter, quelle que soit son issue. Nous avons été éduqué dès notre plus tendre enfance à "être prudent", notre quête perpétuelle de la perfection nous fait fuir toute possibilité d’échec et nous prive ainsi d’expériences qui auraient pu au contraire être enrichissantes. Considérer que nos choix sont tous gagnants est un excellent moyen de vaincre ses peurs et cela nous permet de tout assumer et de savoir que dans tous les cas, nous allons parvenir à nos buts. Nous trouvons ensuite une méthode de prise de décision permettant de mettre en œuvre ce concept de choix gagnant. Après avoir pris la décision, il sera toujours nécessaire de rester dans le réel et de rectifier le tir car les imprévus sont des constantes avec lesquelles nous devons composer. La conclusion de ce chapitre est qu’en considérant que nous sommes toujours dans un choix gagnant, il nous est impossible de nous tromper puisque ce que d’autres considèrent comme des erreurs sont en fait à nos yeux des opportunités. Toute erreur est ainsi salutaire. Enfin, quelques exercices nous sont donnés afin de parvenir à allier la théorie à la pratique ! Ainsi, est-il important de se dire régulièrement que "rien n’a vraiment d’importance". C’est une phrase à se remémorer chaque fois que nous devons prendre une décision, même s’il s’agit d’une question à priori futile telle que "comment vais-je m’habiller aujourd’hui ?". En effet, en minimisant l’importance de chacun de nos choix, on finit par acquérir une sorte de réflexe qui nous permet ensuite de minimiser même les décisions qui nous semblent cruciales. CHAPITRE 8 : C’EST QUOI, "TOUT" POUR VOUS ? Dans ce chapitre, l’auteure nous rappelle combien nous avons le don de nous enfermer dans nos propres dépendances, et principalement celle du travail. Cela tient au fait que pour beaucoup, le travail est l’élément central de leur vie. Pour d’autres (et essentiellement les femmes), c’est une relation amoureuse qui est au centre de tout. Du coup, lorsque ce "tout" est perdu, la personne se retrouve désemparée. Une solution pour ne plus être ainsi dépendant d’une seule et unique chose, c’est d’avoir plusieurs centres d’intérêt et de s’engager à 100% dans chacun. Ainsi lorsque l’un seulement n’est plus, nous pouvons nous raccrocher aux autres, même si la perte est toujours difficile. Si nous éprouvons des difficultés à nous engager dans l’une des composantes de notre vie, une solution est de "faire comme si" cette chose était essentielle. L’exemple de Sandrine nous est donné : en contrat temporaire, elle s’ennuyait dans son job et ne faisait qu’attendre la fin de son contrat. A partir du moment où elle "a fait comme si" ce travail était tout pour elle et qu’elle a mis en œuvre les trucs de Susan Jeffers, elle s’est enfin épanouie dans son poste et s’est enfin mise à aimer son travail. Le chapitre se conclut sur un exercice permettant de mettre en œuvre les conseils dispensés dans ce chapitre et de matérialiser ainsi les composantes de sa vie, pour faire en sorte que rien ne soit "tout" pour nous. Il s’agit en fait de dessiner un carré, compartimenté en 9 cases : dans chacune, marquons quelque chose qui nous tient à cœur ou que l’on aimerait faire. "Famille", "Relation amoureuse", "Amis", "Passion" : cela permet ainsi d’écrire noir sur blanc ce qui nous fait vibrer, et de prendre conscience que si l’une de ces cases venait à disparaître, il y en aurait toujours d’autres pour venir remplir notre vie. CHAPITRE 9 : DITES "OUI" ! Afin de maîtriser nos peurs, tout se résume à "dire oui à l’univers". Cela signifie que nous devons accepter le déroulement de notre vie, quels que soient ses impondérables. C’est aussi accepter la souffrance car nous ne pourrons l’éviter. Ce serait ainsi comme un "mal nécessaire", qui là encore est source d’enseignements. Refuser la souffrance est destructeur et nous enferme dans des drames qui nous empêchent de progresser et de vivre notre vie. En conclusion, Susan Jeffers précise que tout accepter nécessite une pratique quotidienne et de l’entraînement : cela demande une grande patience. Le préalable est avant tout de "se dire oui" à soi-même. CHAPITRE 10 : DONNEZ ! Sommes-nous généreux ? Telle est la question posée en ce début de chapitre. En sommes-nous certains ? C’est là que les choses se corsent. Rares sont les personnes à donner réellement, sans attendre quelque chose en retour. Or, pour se sentir mieux, il est nécessaire de savoir donner et d’être altruiste. Ce qui nous empêche de réellement donner, c’est encore et toujours la peur, la peur de ne pas recevoir en retour, la peur de voir ses propres besoins non satisfaits. Savoir donner, c’est aussi savoir dire merci à tous, y compris à ceux qui nous ont fait "du mal", c’est partager ses connaissances, donner son temps, voire donner son argent. Un dernier exercice proposé en fin de chapitre nous permet de nous rendre compte que nous sommes en fait riches de beaucoup de choses, pas nécessairement matérielles, mais toutes positives. Il suffit de noter dans un cahier chaque événement positif qui peut se produire dans notre vie, ou qui s’est déjà produit : ainsi seulement nous serons en mesure de nous rendre compte de la richesse de notre vie. CHAPITRE 11 : CULTIVER LE "SOI SUPERIEUR" Est abordé dans ce chapitre le concept de "soi supérieur". Il s’agit d’une notion de la psychologie du transpersonnel, qui précise que nous perdons contact avec notre MOI profond quand nous sommes trop préoccupés par des éléments extérieurs. Il s’agit alors de se recentrer sur soi-même et d’avoir conscience de notre part spirituelle. Notre Moi supérieur s’exprime à travers notre subconscient et n’est qu’idées positives. Il est source d’amour, de bienveillance, d’abondance, etc. On pourrait par ailleurs dire que suivre notre intuition est en fait écouter notre Moi supérieur. Notre subconscient traduit ce Moi supérieur en se connectant à l’énergie de l’Univers, sans laquelle le monde n’existerait pas. En toute fin de chapitre sont abordés d’autres thèmes de psychologie, la psychosynthèse ou la technique de la visualisation guidée, autres éléments de lutte contre le manque de confiance en soi. La psychosynthèse propose des techniques permettant notamment de résoudre ses conflits internes ; la visualisation guidée nous invite à créer des images mentales révélant certains aspects négatifs de notre personnalité, que l’on cherche à cacher à nous-mêmes. En prendre conscience est un autre pas vers l’amélioration de soi. CHAPITRE 12 : LE TEMPS DEVANT SOI Ce dernier chapitre fait office de conclusion. Il nous rappelle que pour venir à bout de nos peurs, il est nécessaire d’apprendre en permanence et de s’impliquer, en s’armant de patience et en prenant le temps. L’impatience est en effet source de stress, d’insatisfaction et finalement de peurs. Le parallèle est fait avec une ascension en montagne : la pente est rude, les obstacles nombreux, mais peu à peu l’on contemple un panorama de plus en plus large et de plus en plus beau. C’est ainsi que l’on doit envisager de se reprendre en mains, pour ne plus trembler mais oser ! Critique de “Tremblez mais osez” de Linette de Lire en nuisette : J’ai découvert ce livre par hasard, alors que je cherchais des discussions sur la confiance en soi sur internet. J’étais alors dans une partie de ma vie où tout était chamboulé : perte de mon emploi, naissance de mon premier enfant. Je savais ce que je ne voulais plus, mais j’étais incapable de choisir une direction, me laissant ainsi aller "sans but". Tremblez mais osez ! fait partie des livres qui ont participé à changer ma vie et à reprendre mon avenir en mains. C’est un vrai concentré de pensées positives, de récits concrets qui donnent espoir, envie de se lancer et surtout aident à ne plus avoir peur de l’échec. C’est ainsi que j’ai décidé de me jeter à l’eau et de créer mon blog, avec pour objectif de Travailler en nuisette. Il n’est pas nécessaire de faire tous les exercices pour constater son effet bénéfique : sa simple lecture apporte beaucoup. J’ai par contre trouvé que la fin était une reformulation de ce qui précédait, par la mise en avant de la pensée positive que l’on retrouve dans le "Dîtes oui". Beaucoup d’idées sont redondantes et reviennent tout au fil du livre ; c’est probablement voulu puisque la redite est l’un des moyens donnés par l’auteure pour parvenir à se rééduquer mentalement. Cela donne toutefois le sentiment de tourner en rond. Par ailleurs, je ne trouve pas que le chapitre 11 était nécessaire, le parti pris du livre étant justement de faire oublier que Susan Jeffers est psychologue de formation. Je n’ai pas trouvé que les notions de psychologie qui sont abordées dans ce chapitre apportaient grand chose ; l’auteure aurait tout aussi bien pu lister un ensemble d’ouvrages permettant d’orienter le lecteur vers ces autres notions de psychologie et d’approfondir ainsi les thèmes auxquels il aurait été particulièrement sensible. C’est tout de même un livre à mettre entre toutes les mains des personnes désireuses de reprendre confiance en elles-mêmes. Il m’a personnellement réveillée et aidée à me bouger enfin. Points forts :

Beaucoup de méthodes et de petits exercices pratiques Des exemples concrets qui nous parlent forcément Une lecture facile car l’auteure s’adresse à nous personnellement et n’utilise pas de termes barbares. Elle sait être pédagogue.

Points faibles :

Des redites, des reformulations sur la pensée positive qui donnent le sentiment de tourner en rond Un chapitre 11 plutôt complexe, qui n’apporte pas d’astuces nouvelles au lecteur.

La note de Linette du blog Lire et travailler en nuisette :

Lire plus de commentaires sur "Tremblez mais osez" sur Amazon Avez-vous lu “Tremblez mais osez” ? Quelle note lui-donnez-vous ? Note: There is a rating embedded within this post, please visit this post to rate it. Acheter "Tremblez mais osez" sur Amazon :

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Article publié sur Des Livres Pour Changer de Vie. Si vous voyez cet article sur un autre site, il s'agit d'une copie éhontée. Google+No related posts.

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Mon, 23 Jul 2012 17:00:00 +0200 http://www.olivier-roland.fr/items/view/1664/Tremblez-mais-osez
3 Kifs par jour http://www.olivier-roland.fr/items/view/338/3-Kifs-par-jour

et autres rituels recommandés par la science pour cultiver le bonheur

Phrase-résumée du livre : L’auteure nous fait partager les expériences qu’elle a vécues au cours d’une année ou elle a mis en application les cours de psychologie positive qu’elle a suivis, il se dégage de « 3 kifs par jour » les principaux exercices et principes à mettre en œuvre pour être plus heureux : simple, concret, efficace, et validé par la science

De Florence Servan-Schreiber, 2011, 317 pages. Note : cette chronique est une chronique invitée écrite par Patricia Letang du blog Se soigner autrement. Chronique et résumé de « 3 kifs par jour » : Introduction Après avoir suivi les cours de Tal Ben-shahar (qui enseigne a l’université de Harvard) sur la psychologie positive, et après avoir perdu son emploi, Florence décide de revenir aux sources de cette science, lit, s’informe, participe aux recherches des laboratoires universitaires… Elle nous fait partager les enseignements qu’elle a reçus de ces “facilitateurs de bonheur”, comme elle les appelle. Qu’est-ce que la psychologie positive ? « C’est l’étude scientifique des forces et des qualités qui permettent aux individus et aux communautés de s’épanouir ». Qu’il ne faut pas confondre avec la pensée positive : - Elle est fondée sur des expériences scientifiques, qui sont donc reproductibles, - La psychologie positive admet que tout n’est pas rose, qu’il est sain d’éprouver dans certaines situations des émotions négatives et de faire preuve de réalisme, - Notre côté obscur et notre côté lumineux vivent en parfaite complémentarité, l’un ne peut pas effacer l’autre. « Les gens heureux sont plus sociables et énergiques, plus charitables et coopératifs, plus appréciés que les autres, plus flexibles, ingénieux et productifs, de meilleurs leaders et négociateurs, plus résilients face à la vie,en meilleure santé, gagnent plus d’argent, et vivent plus longtemps » nous dit Sonja Lyubomirsky qui fait partie de ses chercheurs en psychologie positive . AVEZ-VOUS ENVIE D’ÊTRE UN PEU PLUS HEUREUX ? Si oui poursuivez votre lecture, mais sachez que le changement ne peut être que progressif, et sollicite conjointement la capacité de ressentir, d’agir, et de comprendre. 1. Apprendre à jouer avec ses cartes Nous ne sommes pas tous égaux en matière de bonheur car nous n’avons pas tous les mêmes prédispositions génétiques en la matière, notre prédisposition au bonheur peut être forte, moyenne ou faible et est conditionnée par la longueur du gêne 5HTT. [Les généticiens ont mis en évidence l’existence du gènes 5HTT et son rôle direct dans la façon nous nous appréhendons les évènements.Nos gènes vont par deux et le gène 5HTT existe en version longue et en version courte. Ceux qui ont les deux longs ont une prédisposition maximale pour le bonheur, ceux qui ont un long et un court ont une prédisposition moyenne, ceux qui ont les deux courts ont une prédisposition moindre. Ce gêne intervient dans le transport de la sérotonine, qui est vulgairement appelée : hormone du bonheur ; elle a un effet antidépresseur entre autres. Voir cet article publié dans Science en 2003, et les détails complets de l’expérience (PDF, anglais)] · Cette prédisposition compte pour 50% dans notre capacité à être heureux, 50% sur lesquels nous ne pouvons pas agir. · Ensuite il y a les évènements extérieurs qui comptent pour 10% seulement. Gagner au loto ne vous apporterait que 10% de bonheur en plus. Votre travail, le temps dont vous disposez, la météo, vos biens, les vacances de rêves n’influent que peu sur votre bonheur. · Et enfin les 40% restants sont liés à notre comportement, à notre façon de voir la vie et les évènements. Et c’est là que nous pouvons agir et c’est la que la psychologie positive propose d’intervenir. Les idées fausses sur le bonheur Je serais heureux quand… je serais riche, je serais mince, je serais reçu à mon examen… Il faut que tout aille bien et comme nous l’avions envisagé pour être heureux. Or, nous pouvons nous adapter pour rendre une déception acceptable et caresser un autre projet. C’est notre capacité à rebondir. Se donner la permission d’échouer, d’être humain . Accepter de vivre des émotions négatives comme de la peine, du chagrin, de la déception permet de les passer plus vite pour retrouver un état de bien-être. Mesurer son bonheur Un questionnaire personnel de satisfaction à été mis au point par les laboratoires de recherche pour évaluer le bonheur d’une personne : consultable sur Track Your Happiness ( mais en anglais) Le bonheur, ça conserve Des expériences ont montré que les gens heureux présentent deux fois moins de risques de mourir prématurément ou de tomber malade. Pour faire une étude sur la longévité, le milieu dans lequel évoluent les sujets doit être identique pour tous. Il a donc été choisi d’observer des nonnes dans un couvent (même régime, même activité, même rythme de vie, pas de tabac, pas d’alcool, pas d’enfants, pas d’amoureux, même finances…). À leur entrée dans les ordres les novices doivent écrire leur biographie. (Ces écrits ont été observés sans que les observateurs sachent quoi que ce soi de ces nonnes au moment de l’étude.) Grâce à ces biographies, il a été montré que les biographies les plus joyeuses, correspondaient à des nonnes qui ont vécu jusqu’à 85 ans et plus, la moitié de ce groupe à même vécu jusqu’à plus de 94 ans. Par contre, dans le groupe des sœurs qui ont décrit une vie moins enthousiasmante, seulement 1/3 ont atteint les 85 ans. Plus les émotions positives exprimées dans leur récit étaient nombreuses, plus elles avaient de chance de vivre longtemps. Cette expérience à été menée dans d’autres lieux clos et les résultats furent similaires : à facteurs comparables, les gens heureux (ceux qui retiennent les émotions positives) présentent deux fois moins de risque de mourir prématurément ou de tomber malade. C’est quoi finalement être heureux ? D’après l’auteur : « Être amoureux de sa propre vie. En prendre soin, la chérir, l’honorer du meilleur de soi-même, en cultiver les qualités avec tendresse. Et ne pas convoiter celle du voisin. » Vous trouverez à la fin de ce chapitre, dans le livre, un petit test pour évaluer votre bonheur 2. Choisir ses lunettes “La vie est pleine de revers. le succès est déterminé par la façon dont nous les traitons” – Tal Ben-Shahar

Pour percevoir plus de bon autour de nous, nous pouvons utiliser notre capacité d’adaptation, notre confiance en nous, notre rapport à l’optimisme. Nous sommes des animaux d’adaptation et d’imitation Le petit enfant apprend en imitant, et l’adulte adopte naturellement les modes de communications de son entourage(famille, travail,..). C’est un facteur d’appartenance. - Nous sommes capables de nous adapter aux changements, aux évènements de la vie. - Nous pouvons choisir notre point de vue, voir le verre à moitié plein ou a moitié vide. En s’entrainant à voir le côté positif des choses, on créée de nouvelles connexions neuronales en un mois, il est ensuite plus naturel de voir la vie de façon positive. L’auteure nous suggère de cesser l’intoxication médiatique, de noter le coté positif d’une situation de la journée, et au moment d’émettre une critique de se taire pour chercher le point positif. Je m’ouvre aux bénéfices Pour bénéficier des bonnes choses, il faut accepter de recevoir et même souhaiter recevoir. La spirale du positif Plus on perçoit d’émotions positives plus on s’ouvre à de nouvelles expériences et situations agréables. On devient plus créatif car nous produisons alors de nouvelles connexions entre nos idées. Se faire confiance Le professeur Stephen Kosslyn, professeur de psychologie à Harvard, a démontré que ce sont les mêmes neurones qui s’activent lorsque nous sommes en présence d’un objet ou lorsque nous l’imaginons. C’est ce qui explique l’effet placebo, je suis convaincu d’être soigné et je guéris. De nombreuses expériences montrent cette relation entre le corps et l’esprit. Florence nous explique ainsi comment elle a réussi à marcher sur des braises, en préparant son esprit. « Notre attitude face à un évènement a le pouvoir de le transformer ». Savoir que l’on est capable conduit à la réussite. Devenir optimiste Il a été montré que l’optimisme développe le système immunitaire, l’optimiste est en meilleure santé que le pessimiste. Il est aussi professionnellement plus performant. · Pour amplifier son optimisme il est bon de se prendre en flagrant délit de pessimisme et de remettre les pendules à l’heure : Cesser alors de généraliser, passer alors de je ne sais pas cuisiner à je cuisine des choses simples, mais bonnes etc. Il faut rester précis et objectif.Il faut prendre en considération l’ensemble des facteurs qui ont amenés échecs ou déceptions, cela évite de se flageller, et permet de réajuter ce qui est de notre ressort pour une prochaine expérience. Imaginer ce qui peut être pire, et ainsi on peut replacer notre problème à sa juste place.Attention à ne pas utiliser son pessimisme pour éviter une situation ou une action. Ex : J’arrête mon régime parce que j’ai craqué sur un carré de chocolat. Pris en flagrant délit de pessimisme il y a 3 questions principales à se poser pour retrouver son optimisme : « Dans 1 an, est-ce que ça aura encore de l’importance ? « Qu’est-ce que cet échec remet en cause chez moi ? Qui je suis ou la manière dont je m’y suis prise ? » «  Est-ce entièrement de ma faute ou de mon ressort, ou d’autres facteurs sont-ils en cause : des ressources, des gens, le timing, le contexte ? » · Les optimistes visent plus haut que les pessimistes, mais ils tombent aussi plus souvent. Les pessimistes se fixent de tout petits objectifs pour être sûrs de les atteindre. Tout en restant réaliste, visez plus haut et vous verrez que vous vous remettrez facilement de vos chutes. · Les gens heureux utilisent toujours une contrariété. Ils sont capables d’en extraire le meilleur pour poser un autre regard sur une même situation. · Puis on peut raconter le meilleur de soi-même. Écrire ou exprimer ses aspirations, ses désirs, et croire en une possible réalisation, sans le poids des obstacles, amène de la légèreté et de la bonne humeur. 3. Connaitre sa monture Il est préférable de développer ses qualités plutôt que de corriger ses défauts. On peut planter la graine de changement en se posant ces trois questions :

Qu’est-ce qui est important pour moi ? Qu’est-ce qui m’est le plus agréable ? Qu’elles ont mes forces ?

Apprendre à profiter du voyage Tout d’abord il faut se fixer un objectif, et un objectif qui va nous amener du bien-être, de la satisfaction, non pas un objectif pour être reconnu ou avoir une récompense (un meilleur salaire, des félicitations…). Il peut-être tout simple (apprendre à tricoter par exemple). Puis il faut passer à l’action, mettre le pied à l’étrier pour commencer la ballade. Il est montré que le chemin est en lui-même la plus grande source de joie et de bonheur, plus que d’atteindre l’objectif final. Alors il faut profiter de tout ce qui se trouve sur la route lors de votre cheminement. Filtrer ses objectifs et utiliser ses compétences Dans le livre vous trouverez un questionnaire pour déterminer et classer vos objectifs et l’ URL d’un site internet pour trouver et classer vos qualités. Ensuite vous pouvez faire un petit exercice qui consiste à mettre en application consciemment, une de vos dix premières qualités, sur une semaine (ex : une semaine gentillesse, semaine suivante humour, etc.). On peut aussi nourrir ses qualités (voir des films drôles pour l’humour…) et lors d’une difficulté, écrire le problème et écrire avec lesquelles de nos compétences on va le résoudre. Être imparfait Il est indispensable d’accepter d’être faillible, vulnérable, incompétent… Le perfectionniste se doit de tout réussir du premier coup. La peur de l’échec devient alors un frein considérable pour toute avancée, et la satisfaction est rarement au RDV. Être imparfait n’est pas être brouillon et irresponsable, mais c’est faire de son mieux tout en acceptant les erreurs possibles pour apprendre. C’est simplement être plus réaliste. 4. Partager 3 kifs par jour C’est quoi un kif ? « C’est une situation ou un instant qui incite à remercier quelqu’un en particulier ou la vie en général ». Partager avec d’autres trois kifs vécus dans la journée amène toutes sortes de bienfaits : détendent une situation, font oublier les désagréments d’une journée, ils participent à mieux se connaitre, nous entraine à cultiver et repérer les plaisirs et les moments de grâce de notre vie… Les plaisirs Le plaisir, c’est une caresse, un verre d’eau fraiche, une douche chaude…Tout le monde a déjà pu l’expérimenter et le reconnaitre. Pour l’amplifier il est bon de ne pas répéter trop souvent le même plaisir, manger son gâteau préféré tous les jours émoussera notre plaisir. Pour savourer cet instant, il est conseillé de l’enregistrer dans sa tête pour y repenser plus tard, partager ce que l’on éprouve, être attentif aux détails, ne pas réfléchir, simplement ressentir. Les moments de grâce Lors d’un moment de grâce, on est totalement absorbé dans l’activité, on est concentré, notre objectif est clair, on en a conscience quand il s’arrête, le temps s’arrête, l’activité produit un feed-back immédiat. Ces moments alimentent notre bonheur encore plus durablement que les plaisirs. Remercier Ce qui différencie un kif d’un plaisir ou d’un moment de grâce, c’est qu’on en éprouve de la reconnaissance. Les gens qui éprouvent de la gratitude sont plus résilients et en meilleure santé. La gratitude est très puissante, elle fait appel à la réflexion et à notre connexion aux autres. Elle suppose de porter notre attention sur les bienfaits de notre vie et non sur les empêchements. Se muscler Pour plus de bonheur et de kifs, on peut : écrire son journal de gratitude, son journal de kifs ; Il a été montré que cet exercice augmente l’estime de soi ; écrire une lettre de gratitude pour quelqu’un et lui lire à haute voix ; créer des situations qui déclenchent des kifs (fêtes, rituels…) 5. Se connecter Nous avons besoin de relation avec les autres, et plus ou moins selon notre personnalité, pour nous sentir heureux. Nous sommes plus heureux avec des amis, amis avec lesquels on peut parler de choses importantes, se confier, partager, offrir… Avoir des amis plutôt heureux, est encore plus enrichissant. Le nombre de 5 amis minimum est optimal pour notre bonheur. On peut aussi partager et échanger avec des amis virtuels qui peuvent satisfaire à certains critères. Se réjouir du succès des autres apporte aussi une source de bien-être. Il y a les groupes (associations…) Et bien sûr, il y a les relations familiales, notre tribu avec ses rituels, ses codes, son vocabulaire commun…et notre couple (tout un chapitre y est consacré). 6. Inventer ses rituels Changer est possible. S’obliger pendant quelque temps à de nouvelles habitudes crée dans notre cerveau de nouvelles connexions en seulement 30 jours. Ces nouvelles habitudes deviendront donc naturelles. Pour éviter la procrastination, il faut abandonner notre perfectionnisme tout en conservant nos ambitions. Le secret de la mise en marche est de commencer de nouvelles choses plutôt que d’arrêter quelque chose. S’en suit une liste de rituel possible pour commencer de nouvelles choses, prendre de nouvelles habitudes et donc amorcer le changement , le rituel étant un acte que l’on accomplit parce que l’on en a envie, ça n’est pas une obligation qui serait bien peu efficace et durable. On peut donc ainsi : · Utiliser des chocs émotionnels déjà vécus, · Simuler une nouvelle situation pour la déclencher, le cerveau ne faisant pas la différence entre l’imaginaire et le réel, · écrire son journal pour avancer, progresser, · faire de l’exercice qui a des vertus antidépressives et améliore la mémoire, · développer et utiliser la pleine conscience en méditant, ou en respirant, ou en vivant l’instant présent, ou en faisant du yoga… · 80% des maladies sont déclenchées par des facteurs psychologiques, dont le stress. Deux personnes soumises à une même quantité de stress n’auront pas nécessairement les mêmes conséquences. Il semble que certaines personnes récupèrent mieux que d’autres : alors pour bien récupérer, il faut se détendre, se récréer suffisamment, s’offrir des pauses, des vacances, satisfaire son besoin de sommeil… · Les expériences ont montré que le contact physique entre 2 personnes est un besoin essentiel. Le toucher provoque la sécrétion de substances comparables aux opiacés qui diminue le stress, diminue la douleur. C’est indispensable à notre développement. Alors, n’hésitez pas à prendre vos amis, votre conjoint, vos enfants dans vos bras. · Ranger. Ne garder que le nécessaire simplifie le quotidien, ménage plus rapide, on ne cherche pas, on se sent mieux… Note d’Olivier : lisez l’article Esprit Zen – Comment ranger pour en savoir plus. · Nous sommes de véritables éponges et tout compte autour de nous. Alors mieux vaut choisir ses amis, choisir des photos stimulantes ou relaxantes pour la déco, regarder des films en accord avec nos aspirations… · Faire une seule chose à la fois. Faire 2 ou 3 choses à la fois fait perdre en performance (c’est prouvé) et entraine un surcroit de stress. Note d’Olivier : lisez l’article Comment ne PAS être Multitâches – Travaillez plus simplement et plus sainement pour aller plus loin. · Prendre notre temps. Plus on accumule d’obligations et d’activités plus on s’éloigne de soi-même. · Devenir curieux. La nouveauté et les défis sont deux clés du bonheur. · Bien dépenser notre argent. L’accumulation de biens n’est pas une bonne piste, mieux vaut dépenser son argent pour les loisirs (stages divers, canne à pêche, vacances..)et se permettre de vivre des expériences agréables et enrichissantes. · Se récompenser. Faire les choses pour soi même et non pour recevoir de la reconnaissance des autres. Je me suis ainsi offert une ballade cet après-midi après avoir bien travaillé. · Cesser de procrastiner, de faire autre chose à la place de l’objectif que l’on s’est fixé, de remettre au lendemain, mais s’organiser pour passer à l’action : se forcer pour les 5 premières minutes d’activité, déclarer publiquement ses intentions, faire une liste et procéder par étapes, se récompenser et se récréer. 7. Aimer son maintenant C’est être bien dans ses baskets, s’apprécier tel que l’on est, et apprécier ce qui nous entoure. Être heureux demande de la détermination, de l’humilité, de l’innocence, de l’émerveillement, de l’enthousiasme… C’est un défi d’afficher ce visage dans notre société ou il vaut mieux avoir l’air détaché et invulnérable. Apporter du bonheur aux autres nous rend heureux, et pour apporter du bonheur aux autres il faut être heureux soi-même. Conclusion de Patricia « 3 kifs par jour » est un livre qui s’adresse à tous, débutants en développement personnel ou expert, chacun y trouvera son « bonheur ». Il est truffé d’exemples, s’appuie sur des expériences scientifiques parfois décrites, et permet une mise en œuvre facile pour quiconque souhaite être plus heureux. J’ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre et je souhaitais vraiment le faire partager avec le plus grand nombre. J’ai commencé à appliquer quelques exercices et je ne suis pas déçue. En famille nous partageons souvent nos kifs de la journée, mes enfants sont accros et nos liens s’en trouvent renforcés. J’ai commencé à écrire une lettre de gratitude à mon compagnon, je lui lirai pour son anniversaire, l’écrire ou même y penser me remplit d’amour et de bien-être, c’est bien utile quand je suis en colère contre lui. Je me suis rendue compte, en écrivant cet article, que j’ai vécu quelque moment de grâce fort sympathique. Je me remercie plus souvent aussi. J’en perçois déjà les bénéfices : je suis plus assidue à mon travail, mieux organisée, je ne garde plus de rancune en cas de conflit, je me mets moins de pression en regardant plutôt ce que j’ai accompli plutôt que ce qui me reste à faire. Je me sens plus disponible… Et ça n’est qu’un début ! Je vous souhaite un heureux voyage vers vos objectifs. Points forts :

Beaucoup d’exemples, Très concret et pratique, Facile à utiliser, Plaisant et facile à lire,

Points faibles :

Un peu brouillon, Titres de chapitres pas toujours explicites, Peut-être parfois un peu trop de bavardage personnel.

La note de Patricia du blog Se soigner autrement :  
Avez-vous lu le livre ? Combien le notez-vous ? Note: There is a rating embedded within this post, please visit this post to rate it. Lire plus de commentaires sur 3 Kifs par jour sur Amazon. Acheter 3 kifs par jour sur Amazon :

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Mon, 19 Sep 2011 18:00:00 +0200 http://www.olivier-roland.fr/items/view/338/3-Kifs-par-jour